Octobre 2015:
Le semestre a démarré et je suis à court d’idées. Pourtant, s’il faut bien retenir un mot cette année, c’est le mot rédiger. Dossiers plus Billets plus Mémoire plus…Billets plus…mais dans quelle odyssée me suis-je aventurée?! Ce n’est pas que je ne veux pas écrire mais je ne suis pas inspirée. Les mots se sont volatilisés. Mes phrases peinent à être formulées. J’observe le temps s’écouler, mes camarades commencer à publier. Je me demande si ma muse a pris congé et si M. Latour peut m’aider. Je relis encore et encore son extrait dans l’espoir de trouver une clé. Elle n’existe pas ou elle est bien cachée. Encore un mystère à élucider en plus de la phrase «tout fait partie des données».
Le semestre a démarré et je suis à court d’idées. Je dois déjà choisir des sujets à traiter. Cependant, j’attends toujours l’étincelle se manifester. Si seulement j’étais une fée. D’un coup de baguette magique, mes pannes d’inspiration seraient réglées. Mais l’éternelle page blanche m’observe et me fait prendre conscience de la réalité. Peut-être que je peux trouver des graines faisant pousser des idées? Ok, je cesse de divaguer.
Le semestre a démarré et je suis à court d’idées.